Fin 2016 TGI de Paris
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Fin 2016 TGI de Paris
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Procès perdu fin 2016, face à la banque, mandataire et P&V, :
Puisqu'on en parle encore!
Pour info, sorti du jugement sans interjeter appel, complètement dégouté du système, le tribunal n'a pas même daigné replacer les évènements de la commercialisation dans le bon ordre chronologique, ni modifier les chiffres déclarés faux, pour faire court ils n'ont lu et accepté que les déclarations des parties adverses telles que déposées dès le départ (avec leurs erreurs et approximations mensongères - malgré les preuves et aussi l'expérience de nombreux articles dans la presse etc...).
Prescription (l'investisseur était en mesure de faire évaluer son bien au jour de l'achat, mais bien sûr...), condamnation aux entiers dépens et amende à verser à chaque partie, au moins aurais-je vu de quoi ils sont capables dès qu'une banque ou un grand groupe vient en face d'un particulier...
La banque n'a d'ailleurs même pas eu à plaider, un quelconque balbutiement a suffi, le seul playdoyer réel a été rendu par l'assureur du mandataire (qui ne voulait surtout pas payer les pots cassés, si par hasard le tribunal avait décidé de juger l'affaire en "défaut d'information").
Bien entendu aucune des petites mains locales, qui m'ont démarché, n'a été assignée, que faire face à la machine commerciale des mariés banque-P&V.gouv qui vient protéger son outil, rien.
De toute façon, aucun des vices de commercialisation n'a été reconnu par le tribunal, je suis donc l'idiot qui est allé faire son marché, a payé ses course et est rentré avec un panier vide, quel c... c'est bien fait pour lui, au suivant! Il n'a qu'à en plus payer les avocats et tout le toutim, il n'y reviendra pas (ça au moins c'est sûr!).
Mais voilà c'est terminé pour moi et j'en suis fort aise, j'ai vendu mon cottage (avec perte significative, il faut que le repreneur fasse un rendement correct au premier bail - logique PVCP sur site, l'histoire recommence...)
Ma dévouée avocate (Cabinet ASR-Avocats) n'était pourtant pas en accord parfait avec le jugement, mais je n'avais pas l'intention de marcher pour aller voir le pape.
Surtout que le prix de revente, dit-on, est tout de même significatif par rapport à ce qui se pratique dans le domaine, bonne chance aux vendeurs.
Procès perdu fin 2016, face à la banque, mandataire et P&V, :
Puisqu'on en parle encore!
Pour info, sorti du jugement sans interjeter appel, complètement dégouté du système, le tribunal n'a pas même daigné replacer les évènements de la commercialisation dans le bon ordre chronologique, ni modifier les chiffres déclarés faux, pour faire court ils n'ont lu et accepté que les déclarations des parties adverses telles que déposées dès le départ (avec leurs erreurs et approximations mensongères - malgré les preuves et aussi l'expérience de nombreux articles dans la presse etc...).
Prescription (l'investisseur était en mesure de faire évaluer son bien au jour de l'achat, mais bien sûr...), condamnation aux entiers dépens et amende à verser à chaque partie, au moins aurais-je vu de quoi ils sont capables dès qu'une banque ou un grand groupe vient en face d'un particulier...
La banque n'a d'ailleurs même pas eu à plaider, un quelconque balbutiement a suffi, le seul playdoyer réel a été rendu par l'assureur du mandataire (qui ne voulait surtout pas payer les pots cassés, si par hasard le tribunal avait décidé de juger l'affaire en "défaut d'information").
Bien entendu aucune des petites mains locales, qui m'ont démarché, n'a été assignée, que faire face à la machine commerciale des mariés banque-P&V.gouv qui vient protéger son outil, rien.
De toute façon, aucun des vices de commercialisation n'a été reconnu par le tribunal, je suis donc l'idiot qui est allé faire son marché, a payé ses course et est rentré avec un panier vide, quel c... c'est bien fait pour lui, au suivant! Il n'a qu'à en plus payer les avocats et tout le toutim, il n'y reviendra pas (ça au moins c'est sûr!).
Mais voilà c'est terminé pour moi et j'en suis fort aise, j'ai vendu mon cottage (avec perte significative, il faut que le repreneur fasse un rendement correct au premier bail - logique PVCP sur site, l'histoire recommence...)
Ma dévouée avocate (Cabinet ASR-Avocats) n'était pourtant pas en accord parfait avec le jugement, mais je n'avais pas l'intention de marcher pour aller voir le pape.
Surtout que le prix de revente, dit-on, est tout de même significatif par rapport à ce qui se pratique dans le domaine, bonne chance aux vendeurs.
Chaous- Messages : 298
Date d'inscription : 10/02/2013
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