Gérard Brémond - un "faux débat"
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Gérard Brémond - un "faux débat"
M Brémond ne parle pas du renouvellement de bail... c'est de la faute du gouvernement et des investisseurs.
Il faudrait, caper dans les contrats d'acquisition le pourcentage de variation de loyer au renouvellement de bail, mettre noir sur blanc le coût des remise en état de fin de bail, etc... cela calmerait les ardeurs investisseuses, et éviterait toutes ces discussions inutiles par la disparition à terme des acteurs malveillants de l'immobilier.
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Actualités
Immobilier touristique en montagne : le rapport du Sénat est un "faux débat"
27/05/2014 16:20
Le président du groupe de tourisme et d'immobilier Pierre et Vacances/Center Parcs, Gérard Brémond, a qualifié de "faux débat" le récent rapport sénatorial plaidant pour une réglementation des logements neufs touristiques en montagne.
"Il y a un problème structurel : il n'y a pratiquement plus de terrains disponibles dans les montagnes, surtout dans les stations les plus en vue", a déclaré Gérard Brémond, lors d'une conférence de presse consacrée aux résultats semestriels de son groupe. "C'est un faux débat", a-t-il lancé, faisant référence au rapport d'information parlementaire présenté début mars sur le sujet. Le rapport "Patrimoine naturel de la montagne", des sénateurs Hélène Masson-Maret (UMP) et André Vairetto (PS), dénonce une "fuite en avant" de l'immobilier touristique en montagne et suggère de modifier la réglementation pour éviter une "surproduction" de logements neufs, jugée néfaste.
Selon Gérard Brémond, il ne reste plus que "quelques" opportunités de foncier résiduel constructible, dans ce qu'il a appelé des "dents creuses", c'est-à-dire des espaces non construits coincés au milieu de bâtiments déjà existants. Le vrai problème, a-t-il expliqué, se situe plutôt au niveau "de l'érosion des lits touristiques". "L'un des points essentiels, c'est la rénovation du foncier ancien", a-t-il relevé. D'après lui, des propriétaires préfèrent se passer des services de gestion de Pierre et Vacances pour ne pas avoir à effectuer des travaux de remise à niveau de leurs logements destinés à la location saisonnière.
"On estime que sur l'ensemble du territoire, notamment en montagne, il y a 40 000 appartements touristiques qui pourraient être remis sur le marché s'il y avait des incitations fortes", a poursuivi le patron du groupe de tourisme. "Ca dépend de la volonté politique et budgétaire de faire quelque chose dans ce domaine-là".
Pierre et Vacances se décrit comme un "acteur incontournable" de la montagne française, avec 67 résidences en moyenne et haute montagne (Alpes et Pyrénées) et 39 000 lits sous gestion (50 000 avec les multi-propriétés). Il revendique une part de marché de 25 % (hors multi-propriété) en hébergement marchand dans les grands domaines skiables (Espace Killy, Le Grand Massif, Les 3 Vallées, Les Portes du Soleil et Paradiski). Son taux d'occupation a été de 80 % en moyenne au premier semestre 2013/14 (77 % un an plus tôt), contre 58 % à 69 % pour l'ensemble du marché. (AFP)
Source http://www.immoweek.fr/immobilier/actualites/services-10/immobilier-touristique-en-montagne-le-rapport-du-senat-est-un-faux-debat-12166
Il faudrait, caper dans les contrats d'acquisition le pourcentage de variation de loyer au renouvellement de bail, mettre noir sur blanc le coût des remise en état de fin de bail, etc... cela calmerait les ardeurs investisseuses, et éviterait toutes ces discussions inutiles par la disparition à terme des acteurs malveillants de l'immobilier.
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Immobilier touristique en montagne : le rapport du Sénat est un "faux débat"
27/05/2014 16:20
Le président du groupe de tourisme et d'immobilier Pierre et Vacances/Center Parcs, Gérard Brémond, a qualifié de "faux débat" le récent rapport sénatorial plaidant pour une réglementation des logements neufs touristiques en montagne.
"Il y a un problème structurel : il n'y a pratiquement plus de terrains disponibles dans les montagnes, surtout dans les stations les plus en vue", a déclaré Gérard Brémond, lors d'une conférence de presse consacrée aux résultats semestriels de son groupe. "C'est un faux débat", a-t-il lancé, faisant référence au rapport d'information parlementaire présenté début mars sur le sujet. Le rapport "Patrimoine naturel de la montagne", des sénateurs Hélène Masson-Maret (UMP) et André Vairetto (PS), dénonce une "fuite en avant" de l'immobilier touristique en montagne et suggère de modifier la réglementation pour éviter une "surproduction" de logements neufs, jugée néfaste.
Selon Gérard Brémond, il ne reste plus que "quelques" opportunités de foncier résiduel constructible, dans ce qu'il a appelé des "dents creuses", c'est-à-dire des espaces non construits coincés au milieu de bâtiments déjà existants. Le vrai problème, a-t-il expliqué, se situe plutôt au niveau "de l'érosion des lits touristiques". "L'un des points essentiels, c'est la rénovation du foncier ancien", a-t-il relevé. D'après lui, des propriétaires préfèrent se passer des services de gestion de Pierre et Vacances pour ne pas avoir à effectuer des travaux de remise à niveau de leurs logements destinés à la location saisonnière.
"On estime que sur l'ensemble du territoire, notamment en montagne, il y a 40 000 appartements touristiques qui pourraient être remis sur le marché s'il y avait des incitations fortes", a poursuivi le patron du groupe de tourisme. "Ca dépend de la volonté politique et budgétaire de faire quelque chose dans ce domaine-là".
Pierre et Vacances se décrit comme un "acteur incontournable" de la montagne française, avec 67 résidences en moyenne et haute montagne (Alpes et Pyrénées) et 39 000 lits sous gestion (50 000 avec les multi-propriétés). Il revendique une part de marché de 25 % (hors multi-propriété) en hébergement marchand dans les grands domaines skiables (Espace Killy, Le Grand Massif, Les 3 Vallées, Les Portes du Soleil et Paradiski). Son taux d'occupation a été de 80 % en moyenne au premier semestre 2013/14 (77 % un an plus tôt), contre 58 % à 69 % pour l'ensemble du marché. (AFP)
Source http://www.immoweek.fr/immobilier/actualites/services-10/immobilier-touristique-en-montagne-le-rapport-du-senat-est-un-faux-debat-12166
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